Qui suis-je ?

En tant qu’assistante de service social, j’ai rapidement pris conscience que certains jeunes, dont les parents présentaient eux-mêmes une déficience intellectuelle, rencontraient des difficultés à accéder à la lecture. Par une forme de loyauté inconsciente, ils se refusaient à surpasser intellectuellement leurs parents. J’ai également observé que, dans certaines familles, les membres pouvaient partager un même mode de fonctionnement familial (par loyauté), tandis que dans d’autres, des comportements individuels diamétralement opposés apparaissaient. Mais surtout, je me suis interrogée sur les raisons pour lesquelles une famille est touchée par le handicap, pourquoi un enfant en particulier en est affecté alors que le reste de la fratrie ne l’est pas, ou pourquoi une famille entière en est concernée.

Cette réflexion m’a conduite à m’intéresser à la psychogénéalogie cognitive. Après m’être formée, j’ai obtenu ma certification en septembre 2020 auprès de l’Institut de Formation en Thérapies Douces (IFTD) dirigé par Véronique Cézard.

Aujourd’hui, je me consacre pleinement à cette discipline.

Ce qui me distingue dans ma pratique de la psychogénéalogie réside dans mon approche personnalisée et intuitive. Je m’attache à comprendre les dynamiques familiales complexes, en mettant en lumière les liens transgénérationnels qui influencent les comportements et les émotions. Mon écoute attentive, combinée à une sensibilité aiguë aux non-dits, me permet d’accompagner chaque individu dans une démarche de libération des schémas familiaux limitants. Je veille également à créer un espace sécurisant et bienveillant, propice à l’exploration profonde des mémoires familiales, afin de favoriser une réconciliation avec son histoire et un épanouissement personnel durable