Cette discipline est née dans les années 70.
Anne ANCELIN-SCHÜTZENBERGER,
alors psychologue et psychothérapeute,
en est la précurseur. Elle est devenue professeur émérite de la faculté
de Nice. Elle est notamment l’auteur du livre « Aïe, mes aïeux ! ».

De quoi s’agit-il?
Comme son nom l’indique, la psychogénéalogie permet de mettre en
évidence, en lien et en sens l’héritage familial et ses répercussions
notamment psychologiques sur les descendants.
A qui s’adresse-t-elle ?
A vous qui rencontrez des difficultés ou des blocages plus ou moins
persistants au niveau intime, personnel, relationnel, professionnel ou en
termes de santé physique et psychologique , et ce malgré différentes
démarches entreprises, comme si cela ne vous appartenait pas.
Quel est le support de base utilisé ?
Pour vous accompagner, je vous aide notamment à réaliser votre arbre généalogique détaillé appelé « génocosiogramme« , sur lequel vous ferez apparaître les éléments dits « signifiants »:
les dates de naissance, de conception, de décès, de mariage, les prénoms et les patronymes
ainsi que les grossesses non abouties (Fausses-couches, IVG, enfants morts-nés) et les événements douloureux connus, etc.
Il s’agit de vous aider à :
– Repérer des signes révélateurs de traumatismes transgénérationnels.
– Vous libérer de potentiels mécanismes et emprises familiaux afin de vivre votre existence selon vos propres désirs.
– Repérer le rôle familial que vous avez endossé et les attentes de votre clan
– Trouver et prendre ainsi votre véritable et juste place.
– Mieux comprendre et découvrir qui vous êtes.
– Transmettre à vos descendants le meilleur de votre histoire familiale
Si le développement personnel représente l’ensemble des démarches qui permettent
à une personne de s’accomplir,
alors la psychogénéalogie en est une approche.